Nouvelle rubrique pour vous partager un peu la vie à l’intérieur de la rédaction, afin de nous rapprocher chères lectrices, chers lecteurs. Et pour commencer, un petit compte-rendu (à écouter également en podcast) des rencontres avec la rédac’ que nous avons organisée le mois dernier (ainsi… qu’un faire-part de naissance). Par Malsayeur le Médisant

Mouais, c’est 11 personnes intégrées au conseil d’administration de l’Association pour la reconnaissance des médias alternatifs (ARMA), structure juridique portant le journal. Des éducateurs, des journalistes de formation ou sur le tas, tous au chômage ou au RSA, une psychologue, un directeur d’école maternelle, un prof de collège, une thésarde en ethno-musico’ pionne en lycée pro… C’est aussi un comité de rédaction où vont et viennent les contributeurs et contributrices, parfois pour un numéro, pour un article, ou de manière régulière, comme dernièrement avec Azar, étudiante en anthropologie et Eric Dalva, professeur des écoles.

 

Dernièrement, nous avons lancé les soirées « sorties de numéro », initiées le vendredi 11 février dernier. Le principe est de se réunir chaque mois au local de Nice en commun (18 rue François Guisol), espace associatif soutenant les initiatives citoyennes, pour débattre autour du thème central du dernier Mouais. On y lit des articles, on y boit et on y grignotte à prix libre, on y écoute de la musique en acoustique. Enfin pas le mois dernier, car le guitariste s’était blessé au doigt. On y écoute les propositions du lectorat pour améliorer notre contenu. Et on se parle pour de vrai. Le tout enregistré par nos compagnons de la plateforme multimédia toute récemment créée Youtubercule, et diffusé évidemment sur leur site du même nom. Prochain rendez-vous est donné le mercredi 16 mars à ce même local pour discuter donc du patriarcat et de ses alternatives.

L’émission de Youtubercule est ici :

 

Aussi, sachez que la famille Mouaisie accueille un nouveau membre. Sorti du ventre de la maquettiste en cheffe le 23 février, l’arrivée de ce petit garçon a bousculé notre calendrier, ce qui explique le retard dans vos boîtes aux lettres ce mois-ci. On imagine bien que nous sommes pardonnés, car la vie est la meilleure des excuses.