Comme chaque mois, la rédac’ au chat noir vous propose de se retrouver autour d’un verre au 18, rue François Guisol, au local Nice en Commun à 18 heures 30 pétantes, pour discuter des thématiques abordées dans le Mouais du mois. On causera du dossier du mois de décembre : vive la presse libre et libertaire ! Où l’on se questionne sur ce que ça veut dire qu’être un média libre, ce qui nous différence des pas-libres, en quoi consiste le travail de journaliste… Comme d’habitude, il y aura de la convivialité, de la bière et du vin (à prix libre et conscient), et du débat bienveillant et serein. Le tout enregistré par nos amis et confrères de la plateforme multimédia Youtubercule. Et en fin de soirée, en guise de cadeau de Noël une petite surprise musicale vous est réservée avec le compère Kawalight.
Au sommaire de ce numéro que vous pouvez retrouver dans les habituels lieux de vente niçois, jusqu’au 15 du mois suivant :
-
Insalubrité, école fermée, abandon et mépris, les habitants de Liserons se battent pour leur quartier, par Edwin Malboeuf, qui s’intéresse à la lutte de ce quartier pauvre délaissé par la mairie de Nice,
-
Estrosi, écolo mais pas taliban, coup de griffe du Mouais par Bob, qui revient sur la tartuferie écologique de notre maire,
-
Balade dans la presse satirique contemporaine, par Cyril Bosc, animateur du centre international baixois de promotion des revues et journaux satirique et de BD,
-
Entretien avec Guillaume Meurice, par Macko Dràgàn, avec l’ami Guillaume qui nous cause fin de la redevance, droitisation de l’audiovisuel public, censure d’un de ses livres par Bolloré et son empire proto-fasciste, nécessité de la presse indé, rôle du bouffon dans la société…,
-
Retour sur l’aventure du Farfelu, par Tia Pantaï, qui revient sur les revues indépendante, nombreuses, des années 90, et sur la vie culturelle niçoise de ces années-là,
-
Chronique d’un journalope infiltré, où l’on apprend que dans certaines rédac les chefs se font relire leur éditos par des cabinets de conseil,
-
Récit d’une vie de pigiste à l’étranger, par Philippe Pernot, basé au Liban, qui nous raconte la précarité et les dangers physiques réels de cette vie-là,
-
Rencontre avec Nicolas Framont, du magazine Frustration, avec qui l’on parle bifurcation, visions politiques et presse indépendante papier ou web,
-
De quoi la mort du Ravi est le nom, par Seb Boistel, ex-journaliste de feu le journal marseillais le Ravi, qui a mis la clef sous la porte il y a eu,
-
Élever un enfant dans un climat pré-apocalyptique, par Nanouchka, parce que oui la question se pose, mine de rien.
Allez, à jeudi !